Première semaine:
J'ai commencé par essayer de reproduire l'expérience du Dr Nozman dans la vidéo que j'avais postée, à savoir transvaser de l'eau d'un récipient à un autre via une corde. J'ai d'abord essayé avec une petite corde et étant donné que l'expérience fonctionnait j'ai essayé avec une plus longue corde. Au départ l'expérience ne fonctionnait que sur un bout de la corde. Après plusieurs essais, il semble qu'il faille une inclinaison minimale pour que l'eau puisse parcourir une certaine distance le long de la corde.
J'avais amené avec moi divers liquides, j'ai donc pu comparer les tensions superficielles de ceux-ci à l'aide de capillaires.
On peut voir que les divers liquides montent à différentes hauteurs et ont donc des tensions superficielles différentes.
Deuxième semaine:
Lors de la deuxième séance de laboratoire, j'ai d'abord voulu voir si l'étalement d'un liquide change si l'on chauffe le substrat sur lequel il est posé. J'ai donc mis des gouttes d'eau sur du verre et faisait ensuite chauffer la plaque de verre. Les gouttes d'eau s'évaporaient avant de pouvoir distinguer la moindre différence. On peut néanmoins remarquer un phénomène intéressant qui est celui que les traces laissées par les gouttes ne sont présentes que sur le contour des emplacements des gouttes et non sur toutes la surface occupée au préalable par celles-ci.
Une autre expérience que j'ai essayée était de mettre un même volume de divers liquides sur divers matériaux et de voir les différences d'étalement et différences d'angle nécessaire pour que le liquide se mette à couler. J'ai essayé l'eau, le savon liquide, l'huile de tournesol et du glycérol sur du silicone, du plexiglas, du bois et une surface hydrophobe.
On peut voir que l'étalement et l'angle nécessaire pour voir la goutte couler dépendent à la fois du liquide et du matériaux sur lequel on le met.
Ici pour le cas du plexiglas, on voit facilement que l'étalement et l'angle de contact dépendent du liquide choisis.
Sur les images ci-dessus, la pente du tableau correspond à l'angle d'avancée du savon, d'abord sur du plexiglas, ensuite sur du silicone, nous pouvons voir avec le fond que ceux-ci ne sont pas pareils.
Ici pour le cas du plexiglas, on voit facilement que l'étalement et l'angle de contact dépendent du liquide choisis.
Sur les images ci-dessus, la pente du tableau correspond à l'angle d'avancée du savon, d'abord sur du plexiglas, ensuite sur du silicone, nous pouvons voir avec le fond que ceux-ci ne sont pas pareils.
Dans le cas du bois, il n'est pas facile de faire l'expérience parce que celui-ci absorbe les liquide. Il est néanmoins intéressant de voir que tous les liquides ne sont pas absorbés directement, chacun est absorbé à une vitesse différente.
Troisième semaine:
J'ai d'abord voulu voir si l'on pouvais voir une différence en ajoutant plus d'huile dans de l'eau mais je n'ai rien trouver d'intéressant à étudier.Je suis alors plus ou moins reparti sur l'idée de la semaine précédente. J'ai voulu voir les différence de vitesses d'un liquide sur une surface selon l'angle de la surface. J'ai d'abord essayé avec de l'eau mais l'eau laissait une trop grande quantité d'eau derrière la "goutte principale" et donc sa vitesse n'était pas du tout constante. J'ai alors voulu refaire l'expérience avec un mélange d'eau et d'alcool qui était censé ne pas laissée de liquide derrière. Hélas c'était également le cas. J'ai donc essayé de faire les mesure sur une plus petite distance afin de négliger cela.
J'ai donc pris différentes mesures reprises dans le tableau ci-dessous.
Pour un angle de 10°, la goutte n'est jamais arrivée à la ligne d'arrivée.
On voit qu'en diminuant l'angle d'inclinaison, le temps augmente, puis diminue, puis augmente à nouveau, ce qui n'est pas normal. Il faudrait recommencer en trouvant un moyen d'avoir des résultats plus fiables.








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